Et on dirait que …. les dirigeants des pays européens engageraient la rédéfinition d’un projet commun, avec une dynamique impliquant le plus grand nombre possible. Qu’ils définiraient les règles de vie ensemble en commençant pas mettre la laïcité dans le socle des valeurs. Ils diraient que l’accueil des réfugiés est une chance et un devoir qui concerne tout le monde. Ils mettraient les objectifs de réduction des émissions de carbone comme axe central de tous les process de production. Ils ouvriraient des travaux pour définir des règles de vie commune en matière d’énergie, de fiscalité, de vie sociale, de fiscalité. Ils parleraient de la multiplicité des cultures et de la vie ensemble. Simplifier, arrêter avec « le gendarme de Bruxelles », éliminer les dysfonctionnements qui causent le rejet chez beaucoup. Une rêve ? en tout cas, ce n’est pas en commençant à nous parler d’un nouveau traité commun que cela marchera. Il faut du temps, s’inscrire dans la durée et au-delà des échéances électorales des uns est des autres. C’est un projet transgénérationnel.
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