Dans son intervention de  fin mars concernant les éventuelles sanctions exemplaires qui seront appliquées aux militaires français ayant fait subir des sévices sexuels à de jeunes personnes, François Hollande s’exprime en parlant de lui à la 3ème personne, ou bien en utilisant le « on ». Cela donne l’impression qu’il n’est pas vraiment « président de la République », qu’il se regarde un peu comme quelqu’un qui n’en revient pas d’être là et se sent extérieur. Cela créée une curieuse sensation…