Rectificatif par rapport à mon « café du matin précédent ». Certes l’ex-patronne d’Areva porte une part de responsabilité dans la situation de l’entreprise aujourd’hui. Mais il faut être juste. Une part seulement, car il apparait maintenant que les problèmes remontent à très loin…on parle de 1965 !! C’est tout un système en place dans les entreprises qui ont été rassemblées pour former Areva. C’est donc au fil des générations, une culture qui s’est inscrite dans les fonctionnements : planquer dans les armoires, les dossiers concernant les problèmes rencontrés dans la fabrication des éléments des centrales nucléaires. On peut s’étonner que Mme Lauvergeon, arrivant d’ailleurs, n’ait pas eu la curiosité inquisitrice que tout dirigeant arrivant dans sa nouvelle responsabilité, doit développer. L’esprit interrogatif est la 1ère qualité pour un dirigeant, et particulièrement lorsqu’il gère une activité à risque !